Depuis plus de dix ans, cet activiste urbain s’illustre par des actes marquants et originaux. À coup de graffitis vandales, d’affichages sauvages ou de détournements divers, Scandal s’est constitué une réputation d’agitateur, sans passer par les circuits classiques de diffusion.
La Speerstra Gallery présente l'activiste urbain SCANDAL et son concept subversif le "CS 400", la bombe de secours réservée à l'usage exclusif du graffiti.
Une borne de secours, un boîtier renfermant une vraie bombe de peinture et quatre logos : "Brisez la vitre" , "Saisissez la bombe", "Agitez fort", "Taggez".
À l’origine, Scandal résulte d’une simple intuition. Une vivace énergie et une saine colère qui, au fil des années, ont trouvé leur objet d’expression dans l’art de rue. La subversion dans la ville, le pied de nez aux institutions, Scandal est un trublion urbain qui signe comme il agit. Contrairement au choix de son blaze, les actions de Scandal n’ont jamais été le fait du hasard. Depuis plus de dix ans, cet activiste urbain s’illustre par des actes marquants et originaux. À coup de graffitis vandales, d’affichages sauvages ou de détournements divers, Scandal s’est constitué une réputation d’agitateur, sans passer par les circuits classiques de diffusion. L’ultime outrage de Scandal sera présenté à la Speerstra Gallery du 04 au 30 janvier 2006.
"L'objet semble usiné et installé par la voirie, respectant les codes de la signalétique, tout en donnant l'illusion que les pouvoirs publics cautionnent les agissements des graffiteurs." Scandal (interview Technikart 09/05).
© Speerstra Gallery